Friday, November 14, 2014

Benoit Esmein: Why I Play/Pourqoui Je Joue

Editors note: If you are interested in submitting your own story about why you play quidditch please email us at quidditchpost@gmail.com. 

By Benoit Esmein, Black Snitches Chaser #71 

It's been a year since my first come-and-try game at the Armageddon Expo in Melbourne, Australia. I knew quidditch existed before then, as my French hometown had a team, which I discovered just as I was leaving for a year in Australia. It took a chance encounter with Victoria Quidditch Association players—and a bit of googling—to find out when I would be able to get my first taste of quidditch.

That first game was a bit hectic, as there were only beginners on the pitch. But it was enough for me. A few weeks later, I was training two or three times a week with one of the local teams, the Wrackspurts. I played with them in the Victoria Cup, and although I had at first underestimated the physicality of the game, I looked forward to every game and training session.

When the time came to go back to France, I realized that my life had changed. I couldn't go back to a life without quidditch.

I was hooked. I moved to a new town partly because the University offered the languages I wanted and partly because it had a quidditch team. And it's become like family.

I've gotten even more involved since I got back, working with others on a French version of Rulebook 8 and with the new IQA.

When I think about it, I may have overloaded my plate by picking up studies again while working and playing quidditch, but I just know I can do it. Thanks to quidditch, I've pushed my boundaries like never before. And I’ll keep pushing.



Il y a un an je participais à mon premier match d’initiation lors de l’Armageddon Expo à Melbourne, en Australie. Je savais que le quidditch existait avant cela, vu que ma ville en France avait une équipe, que j’avais malheureusement découverte juste avant de partir pour un an en Australie. Il a suffi d’une rencontre imprévue avec des joueurs de la Victorian Quidditch Association—et d’un petit tour sur Google—pour savoir quand je pourrais enfin tester le quidditch.

Ce premier match était assez confus, étant donné qu’il n’y avait que des débutants sur le terrain. Mais c’est tout ce qu’il me fallait. Quelques semaines après je m’entrainais deux à trois fois par semaine avec une des équipes locales, les Wrackspurts. J’ai joué avec eux durant la Victoria Cup, et bien que j’aie initialement sous estimé l’aspect physique du jeu, j’attendais avec impatience chaque entraînement et chaque match.

Quand est arrivé le moment de rentrer en France, j’ai compris que ma vie avait changé. Je ne pouvais envisager de revenir à une vie sans quidditch.

J’étais accro. J’ai déménagé dans une autre ville en partie parce que l’Université proposait les langues que je souhaitais, et en partie parce qu’il y avait une équipe de quidditch. Et c’est devenu une seconde famille.

Je me suis encore plus impliqué après mon retour, travaillant avec d’autres sur une traduction française du Livre de Règles, et pour le compte de la nouvelle IQA.

Je me dis parfois que je me suis mis beaucoup de pain sur la planche, en reprenant des études tout en travaillant et en jouant au quidditch, mais je sais que je peux y arriver. Grâce au quidditch, j’ai repoussé mes limites comme jamais auparavant. Et je continuerai à les repousser.

—Benoit Esmein, Poursuiveur 71 chez les Black Snitches.

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